Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute (86)
Comme jai pris lhabitude de le faire je fais le tour de nos villas pour voir si tout va bien.
Dans celle de Jacky la porte est ouverte et je trouve Katia qui est sur le palier et qui regarde dans une des chambres.
Je regarde ce qui la fascine, Jacky et Aurélie fidèle à leur parole de protecteurs de nos jeunes filles sont dans la chambre, Anne à la queue de Jacky fichée dans son sexe, elle le reçoit les jambes bien écartées ce qui ouvre au maximum sa petite fente.
Aurélie à lautre bout du lit soccupe de la bitte dAdonis.
Elle est agenouillée les seins jusquà son pubis posé sur le lit.
Vu la position je suppute quelle se fait sodomiser.
La porte de la chambre contiguë est ouverte et nous pouvons admirer Madeleine et Aline se brouter la chatte vigoureusement.
La petite doit profiter du clitoris de Madeleine.
Je laisse nos amis à leurs plaisirs et jentraîne Katia à lextérieur car bien quelle ait 18 ans dans quelques jours et que les murs aient évolué chez les jeunes elle a le temps de connaître tous ces moments intimes.
La nuit est douce, je massieds sur une chaise de jardin, jai préalablement tiré sa sur face à moi.
Nous nous retrouvons genoux contre genoux, je lui prends les mains et lui parle à loreille pour éviter de réveiller le voisinage.
Ma chérie voire les autres faire lamour est agréable, mais cela déclenche en toi une envie irrésistible de participer, il te reste moins dun mois à attendre pour entrer dans le monde des adultes.
Je mise gros sur ce que tapportera la perte de ton pucelage.
Tout est presque prêt à un détail, as-tu un passeport valide ?
Jen ai un, lan dernier je suis allé aux États-Unis avec un groupe de mon école pour un échange culturel, il est dans ma chambre chez mes parents.
Peux-tu me lamener demain matin ?
Oui bien sur, sans problème, je me vois mal réveiller maman pour lui demander de me le donner.
Très bien, je pourrai moccuper de ton visa !
Pour où ?
Voyage surprise, tu sauras notre destination le jour de notre départ.
Merci, tu me fais saliver denvie, savoir que je vais devenir femme dans une situation que toi seule connaît beaucoup de mes camarades si elle le savait aurait été volontaire.
Que fais-tu comme étude ?
Je veux rentrer dans la recherche sur les maladies orphelines.
Tes études marchent bien.
Je suis très souvent dans celle qui a les meilleures notes.
Aimerais-tu venir étudier à Paris ?
Jaurais aimé mais les moyens de mes parents de me payer mes études et le loyer exorbitant à Paris les empêchent.
Si jarrive à te faire inscrire et si je te loge chez Virginie, aimeras-tu venir ?
Paris, depuis le temps que jen rêve, tu feras de moi la plus heureuse des filles de France.
Demain jirais voir tes parents et je temmène à Royan faire du shopping départ dix heures.
Je serai prête.
Va te coucher.
Je la regarde passer le portillon dans son pyjama de petite fille sage.
Je flâne sur cette chaise quelques minutes, me remémorant tout ce que jai vécu depuis que mon couillon de mari ma annoncé quil me quittait.
Revenu à ma villa, je remonte et je prends dans mes bras la dernière gazelle que jai attrapée dans mes filets.
Deux minutes et rideau. Christine est aux abonnées absentes.
Un léger mordillement dun de mes tétons me réveille. Océane sest attaqué à cette partie de mon anatomie.
Continu cest bon !
Tu peux légèrement les martyriser.
Elle passe de lun à lautre les suçant, mordillant, caressant, cajolant mon corps qui immédiatement réagit à son attaque.
Jécarte mes cuisses lui présentant le chemin à suivre pour me procurer mon plaisir.
Elle comprend et après sêtre déplacé vient gober ma belle mangue bien juteuse car grâce à son traitement je mouille.
Chez elle javais déjà constaté quelle avait un coup de langue signe dune grande expérience.
Je la laisse terminer en ressentant une jouissance forte agréable.
Et dun coup elle se lâche, elle sagenouille et me reprends la bouche fougueusement, elle met rapidement quatre doigts dans ma chatte, se servant de son pouce pour taquiner mon clito, elle se déchaîne encore plus et me masturbe entraînant lécoulement de ma cyprine qui inonde sa main.
Dun seul coup, elle se relève tout en me maintenant et soulève mon corps simplement par ses doigts en moi, je suis obligé de suivre son mouvement et mon corps fait un pont entre ses quatre doigts et ma tête.
Ses doigts qui me masturbent mobligent à maintenir mon corps tendu dans la position pour éviter à ma chatte de se déchirer mais cest de jouissance que je me déchire.
Comme elle la veille quand je fais reposer mon corps sur le lit il me faut quelques minutes pour émerger.
Elle sest recouchée à mon côté et cest elle qui me caresse le front.
Je te remercie pour cette découverte que tu viens de me faire connaître, je croyais avoir tout connu des amours avec une fille mais le pont que tu as obligé à mon corps de faire est une nouveauté que je me souviendrais longtemps mais jaimerais te poser une question.
Aucun problème, je te dirai toujours la vérité.
As-tu eu des expériences lesbiennes dans ta vie après ce que tu viens de me faire ?
Oui comment là tu devinée ?
Ce que tu viens de me faire mobligeant à arquer mon corps est la preuve que tu as eu des rapports de ce type tu es loin dêtre une novice.
Jai bien remarqué lexpérience acquise de longue date.
Avec qui ?
Tu as raison, quand je suis entré en fac à Poitiers, jai emménagé en ville dans un studio avec une colocataire.
Dès le début le courant est formidablement passé, jétais une oie blanche toujours pucelle.
Ce que jignorais cest que Carla était une lesbienne pure et dure.
Il lui a été aisé de me faire tomber dans ses filets.
Elle ma tout appris, lendroit, le rythme de ce que je devais faire pour lui procurer le maximum de plaisir, cest elle qui un jour ma fait ce que je viens de te faire.
Par la même occasion si dans le plus profond de moi, son corps de femme manquait denvie pour moi, sa gentillesse me touchait et je souhaitais la rendre heureuse.
Notre idylle a duré jusquaux vacances de Noël où je suis resté à lappartement métant légèrement embrouillé avec mon père que javais surpris à me mater lorsque jétais dans la salle de bain et que ma mère était absente.
Je suis sûr quil test arrivé quelque chose.
Elle était partie depuis la veille lorsquen me promenant dans la ville, jai buté sur un pavé mal posé et je suis tombé de tout mon long.
Un jeune homme ma relevé, quand jai mis le pied au sol une violente douleur ma fait crier.
Il ma conduit à mon appartement et ma aidé à monter les trois étages.
Je me suis installé sur notre lit.
Nayant aucun pansement ou bandage, il a eu la gentillesse de redescendre jusquà la pharmacie chercher le nécessaire.
Il ma soigné et est parti me demandant sil pouvait revenir le lendemain prendre de mes nouvelles.
Le lendemain il était là et nous avons passé un bon moment mais en restant bon copain.
Le troisième jour, jour fatidique il est revenu.
Il ma aidé à me relever et à poser le pied parterre, nous avons fait le tour de la table.
Arrivé à hauteur du lit, jai trébuché et nous sommes tombés enlacés.
Jétais sous lui, nos bouches à porter lune de lautre, ce sont rejointes et trouvées soudées.
Comment mes vêtements ont quitté mon corps, aujourdhui je me le demande encore ?
Comment sest-il retrouvé nu là encore jétais tellement dans un état second que je me le demanderai toujours ?
À quel moment mes jambes se sont écartées pour laccueillir, mystère.
Tout ce que je me souviens cest le grand cri que Carla a poussé en pénétrant dans la pièce juste au moment où jai senti mon hymen céder.
Je me suis demandé sil avait eu le temps dentrer sa bite au fond de ma petite chatte vierge.
Il sest rapidement retiré me montrant une fraction de seconde sa verge commençant à débander et couverte des quelques traces rouges prouvant quil avait eu le temps de franchir ma fine membrane. Nous nous sommes habillés en quelques secondes, toujours en hurlant Carla a entassé mes affaires dans ma valise quelle a littéralement balancée dans les escaliers.
Pourquoi était-elle de retour alors quelle était partie huit jours ?
Malgré ma cheville, pendue à son bras, nous avons suivi ma valise et je savais que je navais nulle envie de savoir pourquoi elle était de retour.
Arrivée au rez-de-chaussée, cette dernière sétait ouverte et nous avons récupéré mes petites culottes.
Nous les avons remises à lintérieur et claudiquant je me suis retrouvé sur le trottoir.
Je lui ai demandé sil pouvait mhéberger, il ma avoué quil était marié et quil sexcusait mais quil devait la retrouver au super marché de la ville.
Il ma planté après mavoir assis sur un banc, coup de chance ma valise avait des roulettes.
À quelques mètres un restaurant Mic Picsou ma permis de me mettre au chaud pour pas chère, un gros verre de boisson gazeuse ma permis de rester en donnant limpression de consommer.
Sur la fenêtre à mon côté, une affiche mempêchait de voir la rue, les lettres apparaissaient en transparence, je me suis amusée à lires en les remettant à lendroit.
« On recherche serveuse. »
Je suis allé au comptoir pour savoir qui il fallait rencontrer pour la place.
Je me suis présenté le lendemain ayant passé la nuit dans la gare routière.
Jai été engagé étant obligée de serrer les dents car ma cheville me faisait toujours souffrir.
Mon salaire plus le chèque que ma mère menvoyait à permis que je loue une chambre sous les toits dans la vieille ville.
Jai même changé rapidement de travail pour vendre des paires de chaussures dans un magasin au pied de mon logement.
Cela mévitait de sentir les frites matins, midis et soirs et même les dimanches
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